dimanche 18 août 2013

Film : Elysium


     En 2159, la société n'a jamais été aussi inégalitaire. Alors que la planète Terre est dévastée, les très riches ont trouvé refuge sur Elysium, une station spatiale ultra-moderne et luxueuse où toutes les maladies ont pu être éradiquées. Le ministre Rodhes compte bien continuer à chouchouter cette classe dominante. Pas question que le reste de la population, qui tente difficilement de survivre sur Terre, accède à tous ces privilèges. Max, un homme ordinaire, doit désespérément se rendre sur ce paradis ultra-sécurisé et se rebelle. Risquant sa vie, il accepte de se faire greffer une colonne vertébrale en acier, arme redoutable et utile pour réussir sa mission...



      Le crâne chauve, les muscles saillants, le corps tatoué et revêtu d’un exo­squelette qui décuple ses forces, Matt Damon m'impressionne encore dans ce film de science fiction... A aller voir de toute urgence...


Série tv : Drop dead diva


     Quand la belle Deb, mannequin écervelé, a un accident de voiture mortel, elle se retrouve devant les portes du paradis. Fred, le gardien, lui annonce qu'elle n'est qu'une égoïste égocentrique, ce qui a le don d'énerver la belle. Elle va tenter de le convaincre de la ramener sur Terre pour reprendre sa vie superficielle mais, par erreur, elle se retrouve dans le corps de Jane Bingum, récemment décédée. Cette dernière était une brillante juriste, suivie de sa fidèle assistante. Jane a toujours vécu dans l'ombre de ses collègues, tandis que Deb s'est toujours appuyée sur sa beauté extérieure. Maintenant, suite à ce coup du sort, Deb va devoir s'habituer à cette nouvelle existence.


     Cette série est vraiment trop trop bien, je ne m'en lasse pas, j'en suis à la 3ième saison et les épisodes défilent avec le même plaisir! à toutes les fans de série un peu à l'eau de rose, avec une grosse pointe d'humour...


lundi 29 juillet 2013

Le voisin


Un mari souvent absent. Un métier qui ne l'épanouit guère. Un quotidien banal. Colombe Barou est une femme sans histoires. Comment imaginer ce qui l'attend dans le charmant appartement où elle vient d'emménager ? À l'étage supérieur, un inconnu lui a déclaré la guerre. Seule l'épaisseur d'un plancher la sépare désormais de son pire ennemi... Quel prix est-elle prête à payer pour retrouver sommeil et sérénité ? Grâce à un scénario implacable, Tatiana de Rosnay installe une tension psychologique extrême. Situant le danger à notre porte, elle réveille nos terreurs intimes. 


Rien ne se passe comme le lecteur habitué aux films d’horreur ou aux comédies romantiques pourrait s’y attendre : entre thriller domestique, conflit intime et roman initiatique, l’auteure brouille les cartes et conduit son histoire vers une issue aussi subtile qu’inattendue.



     L'auteur écrit vraiment bien et on est vite plongé dans l'histoire. Le début est un peu lent, du coup on se dit que ce n'est peut être pas un thriller psychologique mais plutôt un roman sympa, mais erreur! L'auteur y va crescendo, joue sur les détails les plus infimes. On est avec le personnage principale et on est vraiment terrorisé avec elle. Par contre, c'est la fin qui m'a un peu déçu, cette fin qui arrive trop vite et dont on a pas assez de détails..... Malgré tout c'est un livre à lire...

Vavances...


Petite pause d'été...

lundi 15 juillet 2013

Beautiful bastard

Beautiful Bastard met en scène la relation tumultueuse et torride entre un patron odieux et exigeant, l’irrésistible Bennett Ryan, et sa jeune collaboratrice, la superbe Chloé Mills, forte tête promise à un brillant avenir.
Un duel amoureux au bureau raconté alternativement par deux êtres dévorés par l’ambition et le désir.
L’esprit vif, bosseuse et volontaire, Chloé Mills n’a qu’un seul problème, son patron : Bennett Ryan. Exigeant, direct, dépourvu de tact, ou d’une quelconque considération à l’égard d’autrui, il est absolument... irrésistible. Un salaud magnifique.
Bennett retourne à Chicago après avoir séjourné en France pour jouer au sein de l’entreprise familiale qu’il dirige, un grand groupe de media, un rôle de premier plan. Rien ne laissait supposer que son assistante chargée de l’aider à distance lorsqu’il était à l’étranger, puisse se révéler être, cette sublime créature – dotée d’une innocence toute provocatrice et absolument exaspérante – avec laquelle il allait désormais devoir travailler chaque jour.
Malgré sa réputation, Bennett n’est pas du genre à entretenir une aventure sur son lieu de travail. Mais Chloé est si séduisante qu’il envisage de faire une entorse à la règle – pour ne pas dire, la faire complètement voler en éclats – si c’est le seul moyen pour lui, de la conquérir, de se l’approprier, de la posséder.
Alors que désir et attirance mutuelle ne cessent de croître jusqu’à un point limite, de non-retour, Bennett et Chloé doivent décider exactement ce qu’ils sont prêts à perdre ou à sacrifier, pour continuer à s’auto-posséder, l’un l’autre sans répit.

Ce livre, il faut lire pour ce qu'il est, un bouquin qui vous garantit une lecture détente, agréable, sans prise de tête. Un livre qu'il ne faut pas négliger parce qu'il est « comme » ses prédécesseurs du genre, justement parce qu'il ne l'est pas … vraiment.
Plus hot et moins niais que Cinquante nuances, ce Beautiful Bastard se lit vite et bien si on le prend pour ce qu'il est : une lecture détente pimentée de sexe et d'humour et sucré au miel des grands sentiments. Rappelons tout de même qu'il s'agit d'une oeuvre de fiction et que dans la vraie vie les étudiantes studieuses assistent le plus souvent des hommes vieux, bedonnants et chauves bien loin d'être aussi beautiful que Bennett Ryan...

dimanche 2 juin 2013

Citation du jour


Dévoile-moi


     Elle vient d’arriver à New York, il est businessman. Elle est jeune, il est riche et sexy.

     Elle est séduite, il la désire. Ils se donnent rendez-vous. Et se revoient. Régulièrement.
     Elle est marquée par son passé, il dissimule des secrets.
     Une relation tumultueuse et sensuelle faite de plaisir assumé et d’une grande liberté. 




En cours de lecture...

vendredi 24 mai 2013

Le journal d'Elsa Linux


     Elle est gaulée comme une cafetière mais seule comme un panda.

     Elle attend le prince charmant mais ne croise que des pervers.
     Elle nous émeut, elle nous excite, elle nous fait rire. C’est Elsa. 
Elsa Linux. 
Le Journal d’Elsa Linux est un pastiche du Journal de Bridget Jones, tout simplement. Ce n’est pas seulement 
un pastiche érotique (Elsa Linux ayant une libido plutôt exigeante !) mais un pastiche à tous les niveaux, dans le 
fond comme dans la forme. 

     La couverture, l’argumentaire de 4e de couverture, la photo, tout devrait concourir à 
ancrer ce positionnement simple et vendeur dans l’esprit du public. Elsa Linux, c’est le “Bridget Jones” à la 
française, c’est-à-dire avec du sexe. Non pas beaucoup de sexe – Elsa Linux n’est pas un ouvrage 
pornographique – mais du sexe varié, intensément vécu et raconté avec humour, sans vulgarité. 

     Bref, il s’agit 
d’une lecture attrayante et grand public, pour femmes et pour hommes, jeunes et moins jeunes. 

     Pour rajeunir le 
genre et nous conformer aux dernières trouvailles technologiques, Le Journal d’Elsa Linux est présenté sous la 
forme d’un “blog”, c’est-à-dire d’un journal intime écrit sur le Web à l’intention des internautes – donc, des 
phrases simples, au présent, des chapitres courts, “horodatés”. Un soliloque, somme toute : Elsa Linux se conte 
à elle-même, tout autant qu’à ses lecteurs, ses mésaventures et espérances de jeune femme romanesque dans un monde de brutes – c’est-à-dire d’hommes (mais les femmes ne valent pas mieux, comme on le lira !). 







     Je me suis jetée sur ce livre dont la couverture me donnait plus qu’envie, et étant très curieuse, un journal intime me tentait beaucoup…Mais, soyons sérieux cinq minutes, Elsa Linux, à par raconter ses histoires de cul avec ses multiples amants, il y a autres chose à lire?

     Mauvais, Mauvais, et pas si bien écrit que ça, le style journal et les multiples personnages ne permettent pas une lecture bien facile et
 j'aime pas le faux ton ironique de Elsa.
     Même pas drôle... 





mardi 14 mai 2013

Citation du jour

« La question n'est pas de savoir si j'ai le temps de lire ou pas, mais si je m'offre ou non le bonheur d'être lecteur. »

Daniel Pennac




dimanche 12 mai 2013

7 ans après...

     Un divorce les avait séparés…… le danger va les réunir
     Après un divorce orageux, Nikki et Sebastian ont refait leur vie, très loin l’un de l’autre. Jusqu’au jour où leur fils Jeremy disparaît mystérieusement. 

     Fugue ? Kidnapping ?
     Pour sauver ce qu’elle a de plus cher, Nikki n’a d’autre choix que de se tourner vers son ex-mari qu’elle n’a pas revu depuis sept ans.
     Contraints d’unir leurs forces, ils s’engagent alors dans une course-poursuite, retrouvant une intimité qu’ils croyaient perdue à jamais…





     Ce thriller qui n'en est pas un, qu'importe le moment dans le livre, tourne à une sorte de virée fugitive en amoureux qui vacille entre colère, inquiétude et regard en coin... bref jusqu'au bout on a l'impression qu'ils vont continuer à se détester...

     Pourtant quand on arrive à la fin de ce thriller qui n'en aura jamais été un, un dénouement incroyable et totalement tiré par les cheveux qui se produit... Et puis pouf tout le monde est sauvé, on a oublié ce qu'ont fait Nikki et Sébastian et  tout le monde est sain et sauf !


     Bref, je n'étais déjà pas emballé par Musso, malgré tous ces succès... Ce livre me conforte dans cette idée... Heureusement, c'était facile et rapide à lire...

dimanche 28 avril 2013

La délicatesse


Il passait par là, elle l'avait embrassé sans réfléchir.

Maintenant, elle se demande si elle a bien fait.
C'est l'histoire d'une femme qui va être surprise par un homme.
Réellement surprise.


     Le deuil au début du roman est exprimé non pas crûment  non pas avec jugement, mais d'une façon très douce. Des mots très simples, des réflexions touchantes, pour exprimer un désarroi, pour tenter de comprendre la reconstruction après une mort violente. Un roman d'une délicatesse, d'une douceur, magnifique. Très banal? Certes, mais ancré dans un quotidien qui pourrait être celui de chacun.
   Première expérience avec cet auteur et je ne manquerais par de recommencer. Pour conclure, je vous invite chaleureusement à plonger votre nez dans ce court récit dont on ressort revigoré, prêts à vivre enfin ce Carpe Diem dont on entend tant parler !


lundi 22 avril 2013

Journal super pas intime


     Tout a commencé un 1er janvier avec le ras-le-bol des messages d’amour, de joie, de prospérité de ces gens qu’on connaît à peine. Alors pour passer ses nerfs, Yaël s’est mise à écrire. Après cet épisode, elle a décidé de prendre sa plume une fois par semaine pour faire un point sur ses humeurs hebdomadaires. Des histoires de tous les jours, des raisonnements de toutes les minutes, des questions que l’on se pose chaque seconde… Journal super pas intime c’est un peu de nous, tous ses petits moments du quotidien qui nous donnent le sourire ou nous font pousser des coups de gueule.
     Ce qui était au départ un défouloir ludique via internet a pris de l’ampleur. Yaël a rassemblé aujourd’hui tous ces instants de vie, des « humeurs » à partager. À part ça, elle travaille dans un cabinet d’avocat, mais on s’en moque. Ce qui important c’est qu’elle est drôle.
     Son humour en a déjà séduit plus d’un dont Gad Elmaleh qui a écrit la préface de ce recueil.

     J'ai été vraiment déçu par ce livre, car je m'attendait à rire à toutes les lignes. D'après les critiques que j'avais lu, il était vraiment à lire!! En fait, il est écrit comme si l'auteure allait faire un spectacle et non comme un livre, ce qui est dérangeant. J'ai pensé tout le long que j'aurais aimé la voir sur scène pour raconter ces histoires, et non les lire, histoires pas toujours très drôles, d'ailleurs! 

mercredi 10 avril 2013

Les écureuils de Central Park sont tristes le lundi


     Souvent la vie s’amuse.

    Elle nous offre un diamant, caché sous un ticket de métro ou le tombé d’un rideau. Embusqué dans un mot, un regard, un sourire un peu nigaud.
Il faut faire attention aux détails. Ils sèment notre vie de petits cailloux et nous guident. Les gens brutaux, les gens pressés, ceux qui portent des gants de boxe ou font gicler le gravier, ignorent les détails. Ils veulent du lourd, de l’imposant, du clinquant, ils ne veulent pas perdre une minute à se baisser pour un sou, une paille, la main d’un homme tremblant.
     Mais si on se penche, si on arrête le temps, on découvre des diamants dans une main tendue… Et la vie n’est plus jamais triste. Ni le samedi, ni le dimanche, ni le lundi…


     Difficile de quitter des personnages qu'on a temps aimer... Ce troisième tome est pour moi réussi, aussi bien que le deuxième. Les cent premières pages sont un peu longues mais après on se laisse happer par l'histoire et l'on retrouve avec plaisir Joséphine, Shirley, Gary, Zoé, Hortense et tous les autres. J'ai des idées de titres pour la suite : "Les éléphants sont moins rosses qu'on ne le pense", "Les hippopotames rêvent de ballerines en tutu"...
     Bref, cette saga est excellente, un vrai plaisir de la lire, cela détend, et ça renvoie aussi à pas mal de choses intimes… Chacun peut se retrouver dans un de ces personnages ou plusieurs d'ailleurs !
Je l'ai déjà fait pour les précédents tomes, je me répète, mais je vous en conseille vivement la lecture !



mardi 9 avril 2013

La valse lente des tortues


     Qu’un crocodile aux yeux jaunes ait ou non dévoré son mari Antoine, disparu au Kenya, Joséphine s’en moque désormais. Elle a quitté Courbevoie pour un immeuble huppé de Passy, grâce à l’argent de son best seller, celui que sa sœur Iris avait tenté de s’attribuer, payant cruellement son imposture dans une clinique pour dépressifs. Libre, toujours timide et insatisfaite, attentive cependant à la comédie cocasse, étrange et parfois hostile que lui offrent ses nouveaux voisins, Joséphine semble à la recherche de ce grand amour qui ne vient pas. Elle veille sur sa fille Zoé, adolescente attachante et tourmentée et observe les succès de son ambitieuse aînée Hortense, qui se lance à Londres dans une carrière de styliste à la mode.

     Joséphine ignore tout de la violence du monde, jusqu’au jour où une série de meurtres vient détruire la sérénité bourgeoise de son quartier. Elle-même, prise pour une autre sans doute, échappe de peu à une agression. La présence de Philippe, son beau-frère, qui l’aime et la désire, peut lui faire oublier ces horreurs. Impossible d’oublier ce baiser, le soir du réveillon de Noël, qui l’a chavirée. Le bonheur est en vue, à condition d’éliminer l’inquiétant Lefloc-Pinel, son voisin d’immeuble, un élégant banquier dont le charme cache bien trop de turpitudes.
     Autour de l’irrésistible et discrète Joséphine, gravite une fois encore tout un monde de séducteurs, de salauds, de tricheurs et autant d’êtres bons et généreux. Comme dans la vie.


     Ce deuxième volet est largement plus farfelu que le premier (nous voici avec du vaudou et une réincarnation d'Einstein)
, avec beaucoup de surréalisme et les personnages déjà bien posés auparavant ne présentent plus le même mystère mais les rebondissements, agrémentés d’un soupçon d’intrigue policière sont bien présents. L’écriture de Katherine PANCOL est toujours aussi agréable, les états d’âmes de Joséphine si justement décrits... 
Cela reste donc un thriller gentillet à lire au second degré : une lecture pour la plage, quand on n'a pas envie de réfléchir...

lundi 8 avril 2013

Les yeux jaunes des crocodiles

     Ce roman se passe à Paris.
     Et pourtant on y croise des crocodiles. Ce roman parle des hommes. Et des femmes. Celles que nous sommes, celles que nous voudrions être, celles que nous ne serons jamais, celles que nous deviendrons peut-être.       Ce roman est l'histoire d'un mensonge. Mais aussi une histoire d'amours, d'amitiés, de trahisons, d'argent, de rêves. Ce roman est plein de rires et de larmes. Ce roman, c'est la vie...




     L'histoire est simple, celle de deux sœurs et de leur entourage. L'une, Iris, sublime et parfaite, l'autre, Joséphine, moche et ratée, elles vont devoir faire face chacune à leur manière à des problèmes existentiels (le mari qui s'en va, les enfants qui grandissent, ...), tout cela autour d'un mensonge, mais une seule s'en relèvera, devinez laquelle ?
     Les critiques sont très mitigées... c'est soit j'ai adoré soit j'ai détesté...et ben moi j'ai adoré! C'est pas de la grande littérature, c'est un roman léger, facile à lire, un style plus parlé qu'écrit mais j'ai pris beaucoup de plaisir à le lire et à suivre l'évolution de Joséphine et de sa petite troupe.
     Après faut savoir ce que chacun attend d'un livre, il y a des livres qui font réfléchir, (mais dans ce cas-là peut-être faut-il acheter autre chose qu'un best-seller...mais ça c'est mon opinion..), d'autres qui font rêver, d'autres qui traitent d'actualité... Ce livre on me l'a offert (merci Rébec!) et pour moi ça a été une façon de découvrir le style de Pancol, j'ai d'ailleurs acheté les autres tomes de la trilogie et je les lirai comme ce qu'ils sont: des romans frais, à lire en vacances...

dimanche 7 avril 2013

Rien ne s'oppose à la nuit

     La douleur de Lucile, ma mère, a fait partie de notre enfance et plus tard de notre vie d’adulte, la douleur de Lucile sans doute nous constitue, ma sœur et moi, mais toute tentative d’explication est vouée à l’échec. L’écriture n’y peut rien, tout au plus me permet-elle de poser les questions et d’interroger la mémoire. La famille de Lucile, la nôtre par conséquent, a suscité tout au long de son histoire de nombreux hypothèses et commentaires. Les gens que j’ai croisés au cours de mes recherches parlent de fascination ; je l’ai souvent entendu dire dans mon enfance. Ma famille incarne ce que la joie a de plus bruyant, de plus spectaculaire, l’écho inlassable des morts, et le retentissement du désastre. Aujourd’hui je sais aussi qu’elle illustre, comme tant d’autres familles, le pouvoir de destruction du Verbe, et celui du silence. Le livre, peut-être, ne serait rien d’autre que ça, le récit de cette quête, contiendrait en lui-même sa propre genèse, ses errances narratives, ses tentatives inachevées. Mais il serait cet élan, de moi vers elle, hésitant et inabouti. » Dans cette enquête éblouissante au cœur de la mémoire familiale, où les souvenirs les plus lumineux côtoient les secrets les plus enfouis, ce sont toutes nos vies, nos failles et nos propres blessures que Delphine de Vigan déroule avec force.


     Ce livre m'a plongé dans une grande tristesse pour ces vies gâchées par des secrets de famille. Malgré ce sentiment, je n'ai pas pu m’arrêter de lire ces lignes sombres et en même temps pleine de couleur, de voir que malgré nos héritages familiaux, on peux se reconstruire et aller de l'avant. Chaque famille a ses problèmes mais ce n'est pas une fatalité, il faut juste "apprendre" à comprendre et à pardonner... Ce livre m'a beaucoup plus touché que ce que j'aimerai le dire... coup de cœur et coup AU cœur...




lundi 1 avril 2013

Le mec de la tombe d'à côté

     Désirée, veuve depuis peu, se rend régulièrement sur la tombe de son mari, mais par acquit de conscience essentiellement... Son mariage tenait plus du «copinage» que du grand amour. Au cimetière, elle croise souvent un homme de son âge, qui vient se recueillir sur la tombe d'à côté, et dont l'apparence l'agace autant que ladite tombe avec sa stèle tape-à-l'oeil. Bibliothécaire, Désirée se consacre tout entière à son travail. Quant à Benny, il s'est retrouvé seul à gérer la ferme familiale et ses 24 vaches laitières après le décès de sa mère. 

     Rien, a priori, ne rapproche ces deux-là, et pourtant, il suffira d'un sourire qui éclate simultanément sur leurs lèvres pour qu'ils soient tous deux éblouis. 
C'est le début d'une histoire d'amour assez cocasse !



     Jusqu’au bout, le suspense : sauront-ils concilier leurs origines si différentes ?… 


     Chaque chapitre donne la parole à l'un des personnages, accentuant ainsi, plus que le ferait la description, le contraste qui les oppose. 
     Un livre pour se détendre et rêver, gentiment... Je vous le recommande sans hésiter. C'est une jolie histoire, à la fois tendre, drôle et pleine d'espoir. 

dimanche 31 mars 2013

Le vieux qui ne voulait pas fêter son anniversaire

     Alors que tous dans la maison de retraite s’apprêtent à célébrer dignement son centième anniversaire, Allan Karlsson, qui déteste ce genre de pince-fesses, décide de fuguer. Chaussé de ses plus belles charentaises, il saute par la fenêtre de sa chambre et prend ses jambes à son cou. Débutent alors une improbable cavale à travers la Suède et un voyage décoiffant au cœur de l’histoire du XXe siècle. Car méfiez-vous des apparences ! Derrière ce frêle vieillard en pantoufles se cache un artificier de génie qui a eu la bonne idée de naître au début d’un siècle sanguinaire. Grâce à son talent pour les explosifs, et avec quelques coups de pouce du destin, Allan Karlsson, individu lambda, apolitique et inculte, s’est ainsi retrouvé mêlé à presque cent ans d’événements majeurs aux côtés des grands de ce monde, de Franco à Staline en passant par Truman et Mao… 


    Une histoire tellement énorme qu'on plonge les deux pieds dedans et on en ressort avec la banane... Un livre original et franchement réjouissant. Donc, muni de votre second degré, installez-vous confortablement, le voyage délirant va commencer. 

mardi 26 mars 2013

Choix difficile

     J'ai acheté 3 livres de ma PAL, mais par lequel vais-je commencer? Gros dilemme, j'ai envie de les lire tous les 3. Rien à voir avec la précédente saga... J'ai laissé quelques jours passés, pour digérer "Christian et Ana". Maintenant, il va falloir faire un choix....



dimanche 17 mars 2013

Les âmes vagabondes

     Melanie Stryder est une rebelle. Notre Terre a été envahie par un ennemi invisible. Petit à petit, les âmes vagabondes s’emparent du corps des hommes en neutralisant leur esprit. La quasi-totalité de l’humanité a ainsi succombé. Melanie Stryder fait partie du dernier groupe d’hommes libres. Lorsqu’elle est capturée par les Traqueurs, on lui insère Vagabonde, une âme exceptionnelle qui a déjà connu plusieurs corps. Elle sait les difficultés d’envahir un humain hostile : les émotions dévastatrices, le tumulte des sens, les souvenirs trop vifs. Et Vagabonde rencontre un obstacle supplémentaire : l’esprit de l’ancienne propriétaire résiste. L’âme explore les souvenirs de Melanie dans l’espoir de découvrir l’endroit où se cachent les derniers résistants humains. Mais à la place de ces informations, Melanie submerge Vagabonde par les images de l’homme qu’elle aime – Jared, un humain encore en cavale. Incapable de se dissocier des pulsions de son corps d’emprunt, Vagabonde commence à aimer l’homme qu’elle est censée livrer aux autorités. Face aux pressions extérieures, Melanie et Vagabonde se retrouvent alliées malgré elles ; commence alors pour elles la quête incertaine et périlleuse de cet homme dont elles sont toutes deux amoureuses.


     "Stephenie Meyer" a un don inouï : je me suis retrouvée avec le même effet Twilight : l'envie irrépressible de me plonger dans le roman dès que j'en avais l'occasion, de retrouver les personnages et de découvrir avidement ce qui allait se passer. Je ne suis habituellement pas très Science Fiction en temps ordinaire, mais elle nous emmène dans un univers vraiment passionnant. Ce livre a été un gros coup de 

dimanche 10 mars 2013

Scarlett, si possible

     Elles sont trois copines, Juliette, Martine et Bénédicte. Elles quittent leur province natale en 1968 et souhaitent conquérir le monde : tomber amoureuse, partir en Amérique ou percer dans le journalisme. Les embûches se multiplient mais leur foi est telle qu’elles sont prêtes à tout. Un roman d’apprentissage revigorant où se bousculent les appétits et les déboires d’une génération déterminée, pour qui tout semble possible.


     En voilà un agréable petit roman! Il faut dire que l'histoire pousse à s'y attacher puisqu'elle nous fait suivre le parcours initiatique d'une bande d'amies qui tant bien que mal et avec les loupés de circonstance, entrent dans la vie adulte. C'est parfois drôle, parfois touchant et parfois triste. Un peu comme la vie, quoi... A lire, avec plaisir...

dimanche 3 mars 2013

La reine dans le palais des courants d'air

     Lisbeth est entre la vie et la mort à l’hôpital... au même étage que son père. Il la hait, il veut sa mort et il est en meilleur état qu’elle... Mikael, lui, poursuit son enquête sur des secrets d’État qui pourraient faire condamner une grande partie de la Sapo, la police de la sûreté, et quelques crapules du gouvernement... 



     Je n'ai qu'un mot à dire : déçue!!! Je n'ai même pas réussie à finir ce livre, le tome 3 finit comme la saga a commencé, tout en longueur. Ce livre est déprimant, assommant, soporifique... C'est difficile à suivre avec de nombreux personnages aux noms suédois à rallonge, on ne sait plus qui ils sont, ni si ce sont des hommes ou des femmes... Donc, je ne l'ai pas lu jusqu'au bout et je n'ai aucun regret de ne pas avoir insisté!! Dommage, le personnage de Lisbeth m'avait fasciné...



dimanche 24 février 2013

Millénium, Tome 2 : La fille qui rêvait d'un bidon d'essence et d'une allumette


     Tandis que Lisbeth Salander coule des journées supposées tranquilles aux Caraïbes, Mikael Blomkvist, réhabilité, victorieux, est prêt à lancer un numéro spécial de Millénium sur un thème brûlant pour des gens haut placés : une sombre histoire de prostituées exportées des pays de l'Est. Mikael aimerait surtout revoir Lisbeth. Il la retrouve sur son chemin, mais pas vraiment comme prévu : un soir, dans une rue de Stockholm, il la voit échapper de peu à une agression manifestement très planifiée. Enquêter sur des sujets qui fâchent mafieux et politiciens n'est pas ce qu'on souhaite à de jeunes journalistes amoureux de la vie. Deux meurtres se succèdent, les victimes 
enquêtaient pour Millénium. Pire que tout, la police et les médias vont bientôt traquer Lisbeth, coupable toute désignée et qu'on a vite fait de qualifier de tueuse en série au passé psychologique lourdement chargé. Mais qui était cette gamine attachée sur un lit, exposée aux caprices d'un maniaque et qui survivait en rêvant d'un bidon d'essence et d'une allumette ? S'agissait-il d'une des filles des pays de l'Est, y a-t-il une hypothèse plus compliquée encore ? C'est dans cet univers à cent à l'heure que nous embarque Stieg Larsson qui signe avec ce deuxième volume de la trilogie Millénium un thriller au rythme affolant.



     Cette fois ci, il ne m'a pas fallu 150 pages pour entrer dans l'intrigue. Le tome 2 est beaucoup plus évident que le Tome 1. Il est palpitant et violent aussi. J'ai vibré à l'idée que Salander soit une psychopathe et que Super Blomkvist n'arrive pas à temps. Donc pas de déception, malgré une traduction un peu lourde, je trouve...




dimanche 17 février 2013

Millénium, Tome 1 : Les hommes qui n'aimaient pas les femmes

     Ancien rédacteur de Millénium, revue d'investigations sociales et économiques, Mikael Blomkvist est contacté par un gros industriel pour relancer une enquête abandonnée depuis quarante ans. Dans le huis clos d'une île, la petite nièce de Henrik Vanger a disparu, probablement assassinée, et quelqu'un se fait un malin plaisir de le lui rappeler à chacun de ses anniversaires. Secondé par Lisbeth Salander, jeune femme rebelle et perturbée. placée sous contrôle social mais fouineuse hors pair, Mikael Blomkvist, cassé par un procès en diffamation qu'il vient de perdre, se plonge sans espoir dans les documents cent fois examinés, jusqu'au jour où une intuition lui fait reprendre un dossier. Régulièrement bousculés par de nouvelles informations, suivant les méandres des haines familiales et des scandales financiers. lancés bientôt dans le monde des tueurs psychopathes, le journaliste tenace et l'écorchée vive vont résoudre l'affaire des fleurs séchées et découvrir ce qu'il faudrait peut-être taire...


     J'ai trouvé la centaine de première pages longues, mais longues... Je me suis demandée plusieurs fois si je n'allais pas arrêter! Mais on m'en avait dit tellement de bien que j'ai continué, et là, quelle découverte! Le livre se transforme en un polar à suspens, avec des scènes hard, mais supportables. Une fois passées ce début, on ne peut plus en décrocher. Les personnages sont attachants, surtout Lisbeth!!


     J'ai vu les deux versions du film : le premier film qui est sorti en 2009  est suédois, le deuxième qui est sorti en 2011 est américain. La version suédoise est vraiment plus noire que la version américaine, mais on y retrouve bien le livre et je n'ai pas été déçue! Ce qui est pourtant souvent le cas avec les adaptations de livres au cinéma!!! 
Dans la version suédoise, ils ont sortis aussi l'adaptation des tomes 2 et 3. ça devrait aussi être le cas pour la version américaine, en 2014.



dimanche 10 février 2013

Cinquante nuances plus claires


Le troisième volet de la trilogie Fifty shades…

     La rencontre d’Ana Steele et de Christian Grey, chef d’entreprise ambitieux mais tourmenté, les a précipités dans une histoire d’amour torride qui a irrémédiablement bouleversé leurs existences.
     Ana a toujours su que ses amours avec son Cinquante Nuances seraient orageuses : leur vie commune pose des défis que ni l’un ni l’autre n’avaient envisagés. Ana doit apprendre à partager le style de vie opulent de Grey sans sacrifier sa propre intégrité ou son indépendance ; Grey doit surmonter son obsession de tout contrôler, et exorciser les horreurs qui le hantent. Enfin réunis, ils ont tout : l’amour, la passion, l’intimité, la richesse et une infinité de possibles.
     Mais alors même que la vie les comble, le malheur et le destin conspirent pour plonger Ana dans le pire des cauchemars…




     Je ne dirais pas que ce roman (comme les 2 précédents) est un roman BDSM. Oui, effectivement, il y a quelque scènes plus qu'explicites mais c'est avant tout une saga romance pour moi avec ses côtés sombres et claires comme ses titres l'indiquent. Et puis, entre nous, c'est encore un roman cendrillon, la pauvre fille qui rencontre le prince charmant (il est beau riche jaloux possessif aimant sexy). Qui n'a jamais rêvé de se faire gâter que ce soit physiquement, matériellement ou psychologiquement  
     Je trouve que EL James s'est beaucoup donné dans ce dernier tome, moins de raté côté écriture même si elle reste simple.

     Vous l'aurez donc compris, pour moi, cette trilogie et surtout ce 3ième tome sont un gros coup de  


dimanche 3 février 2013

Cinquante nuances plus sombres

     Le deuxième volet de la trilogie Fifty Shades…
     Dépassée par les sombres secrets de Christian Grey, Ana Steele a mis un terme à leur relation pour se consacrer à sa carrière d’éditrice. Mais son désir pour Grey occupe toujours toutes ses pensées et lorsqu’il lui propose un nouvel accord, elle ne peut y résister.
     Peu à peu, elle en apprend davantage sur le douloureux passé de son ténébreux M. Cinquante Nuances, toujours aussi passionné. Tandis que Christian lutte contre ses démons intérieurs, Ana doit prendre la décision la plus importante de sa vie.




     Bon, 2ième tome terminé. Autant dire que ce livre me rend un peu asociale, je lis partout, dès que j'ai un moment à moi, je ne pense qu'à lire :-) Cette série a eu pas mal de mauvaises critiques, mais allez, j'assume, je suis devenue accro avec celui-ci. ça devient très vite addictif.
    Alors je laisse de côté la forme et l'écriture car elle est toujours aussi simple. Si vous êtes fan de grande littérature, vous pouvez passer votre chemin. "Ana" rougit toujours, mais un un peu moins et "Christian" devient attachant; ce n'est pas un livre érotique par excellence ni une histoire d'amour prenante comme "Autant en emporte le vent", mais l'auteur a réussit avec ce livre à accrocher les lecteurs non convaincus par le premier, et moi avec...


dimanche 27 janvier 2013

Cinquante nuances de Grey

     Lorsqu’Anastasia Steele, étudiante en littérature, interviewe le richissime jeune chef d’entreprise Christian Grey, elle le trouve très séduisant mais profondément intimidant. Convaincue que leur rencontre a été désastreuse, elle tente de l’oublier – jusqu’à ce qu’il débarque dans le magasin où elle travaille et l’invite à un rendez-vous en tête-à-tête. 

     Naïve et innocente, Ana ne se reconnait pas dans son désir pour cet homme. Quand il la prévient de garder ses distances, cela ne fait que raviver son trouble. 
Mais Grey est tourmenté par des démons intérieurs, et consumé par le besoin de tout contrôler. Lorsqu’ils entament une liaison passionnée, Ana découvre ses propres désirs, ainsi que les secrets obscurs que Grey tient à dissimuler aux regards indiscrets… 





     Si vous êtes un homme, n'importe lequel, passez votre chemin....ce livre n'a pas été écrit pour vous...Contentez-vous du porno de Canal +. Au moins, c'est clair (si je peux dire). Si vous êtes une femme, ce livre pourrait vous plaire, si vous aimez les midinettes rougissantes à tout bout de champs et la lecture des "Harlequin". Moi, j'ai passé un bon moment, c'est facile à lire, et pas déplaisant mais je n'ai pas trouvé le truc en plus qui justifie qu'on en parle partout. L'annoncer comme un phénomène littéraire qui libère la femme au foyer, c'est franchement "too much"! A moins que je ne sois trop libérée? Mais en parlant autour de moi, mon avis est partagé... Malgré tout, la fin du livre m'a donné envie de lire la suite...

dimanche 20 janvier 2013

Hunger games tome 3


     Contre toute attente, Katniss a survécu une seconde fois aux Hunger Games. Mais le Capitole crie vengeance. Katniss doit payer les humiliations qu'elle lui a fait subir. Et le président Snow a été très clair: Katniss n'est pas la seule à risquer sa vie. Sa famille, ses amis et tous les anciens habitants du district Douze sont visés par la colère sanglante du pouvoir. Pour sauver les siens, Katniss doit redevenir le geai moqueur, le symbole de la rébellion. Quel que soit le prix à payer...



     3ième tome à la hauteur des 2 premiers, toujours aussi facile à lire et aussi passionnant. On est emporté dans l'univers des personnages et on a du mal à décrocher. Pourtant, à la fin, on se demande si on a vraiment aimé cette saga, impression bizarre...

dimanche 13 janvier 2013

Hunger games tome 2


     Après le succès des derniers Hunger Games, le peuple de Panem est impatient de retrouver Katniss et Peeta pour la Tournée de la victoire. Mais pour Katniss, il s'agit surtout d'une tournée de la dernière chance. Celle qui a osé défier le Capitole est devenue le symbole d'une rébellion qui pourrait bien embraser Panem. Si elle échoue à ramener le calme dans les districts, le président Snow n'hésitera pas à noyer dans le sang le feu de la révolte. A l'aube des Jeux de l'Expiation, le piège du Capitole se referme sur Katniss...


     J'ai lu ce livre juste près le premier, et je suis toujours pris dans cette histoire, je n'arrive pas à décrocher. La tome 2 est encore plus prenant que le premier. Un seul bémol pourtant, sur l'histoire d'amour, impossible de s'identifier au personnage!
En conclusion, pourtant, aucun doute possible, je lirai la suite ! La fin de ce tome est époustouflante et donne tout simplement envie de se jeter sur la suite. On va de rebondissements en rebondissements. Un livre rempli d’émotions, qu’il est impossible de lâcher.

dimanche 6 janvier 2013

Hunger games tome 1


Les Hunger Games ont commencé.
Le vainqueur deviendra riche et célèbre.
Les autres mourront...
Dans un futur sombre, sur les ruines des États-Unis, un jeu télévisé est créé pour contrôler le peuple par la terreur.
Douze garçons et douze filles tirés au sort participent à cette sinistre téléréalité, que tout le monde est forcé de regarder en direct. Une seule règle dans l'arène : survivre, à tout prix.
Quand sa petite soeur est appelée pour participer aux Hunger Games, Katniss n'hésite pas une seconde. Elle prend sa place, consciente du danger. À seize ans, Katniss a déjà été confrontée plusieurs fois à la mort. Chez elle, survivre est comme une seconde nature...



     Ce livre est annoncé comme un livre pour ado, mais malgré l'écriture simple et la jeunesse des personnages, on se laisse prendre par l'histoire et on ne lache plus ce livre avant de l'avoir terminé. Ce livre est une belle surprise, très bien mené, avec des personnages attachants... A lire, même pour ceux ou celles qui ne sont pas fans de science fiction...